Comment la journée de solidarité est-elle accomplie dans la fonction publique ?

La journée de solidarité, destinée à financer des actions en faveur de l'autonomie des personnes âgées ou handicapées, s'applique dans les 3 fonctions publiques. Elle prend la forme d'une journée supplémentaire de travail non rémunérée. Elle peut être accomplie de différentes manières selon les administrations. Sa durée est proratisée pour les agents travaillant à temps partiel, à temps non complet ou incomplet.

La finance des actions en faveur de l'autonomie des personnes âgées ou handicapées. Elle est applicable aux fonctionnaires et aux agents non titulaires des 3 fonctions publiques.

Elle prend la forme d'une journée supplémentaire de travail non rémunérée.

Cette journée est fixée :

  • dans la fonction publique d'État, par arrêté du ministre, après avis du comité technique ministériel concerné,
  • dans la fonction publique territoriale, par délibération, après avis du comité technique,
  • dans la fonction publique hospitalière et pour les personnels enseignants et hospitaliers des centres hospitaliers et universitaires, les médecins, odontologistes et pharmaciens, par le directeur d'établissement, après avis du comité technique d'établissement.

La journée de solidarité peut être accomplie selon l'un des modes suivants :

  • travail un jour férié précédemment chômé autre que le 1er mai (le lundi de Pentecôte par exemple),
  • suppression d'une journée de RTT,
  • toute autre organisation permettant le travail de 7 heures précédemment non travaillées, à l'exclusion de la suppression d'un jour de congé annuel (par exemple, travail un jour supplémentaire hors temps scolaire pour les enseignants).

Pour les agents travaillant à temps partiel, à temps non complet ou incomplet, les 7 heures de cette journée sont proratisées en fonction de leur durée de travail.

La finance des actions en faveur de l'autonomie des personnes âgées ou handicapées. Elle est applicable aux fonctionnaires et aux agents non titulaires des 3 fonctions publiques.

Elle prend la forme d'une journée supplémentaire de travail non rémunérée.

Cette journée est fixée :

  • dans la fonction publique d'État, par arrêté du ministre, après avis du comité technique ministériel concerné,
  • dans la fonction publique territoriale, par délibération, après avis du comité technique,
  • dans la fonction publique hospitalière et pour les personnels enseignant et hospitalier des centres hospitaliers et universitaires, les médecins, odontologistes et pharmaciens, par le directeur d'établissement, après avis du comité technique d'établissement.

La journée de solidarité peut être accomplie selon l'un des modes suivants :

  • travail un jour férié normalement chômé autre que le 1er mai, les 25 et 26 décembre et le Vendredi Saint (le lundi de Pentecôte par exemple),
  • suppression d'une journée de RTT,
  • toute autre organisation permettant le travail de 7 heures précédemment non travaillées, à l'exclusion de la suppression d'un jour de congé annuel (par exemple, travail un jour supplémentaire hors temps scolaire pour les enseignants).

Pour les agents travaillant à temps partiel, à temps non complet ou incomplet, les 7 heures de cette journée sont proratisées en fonction de leur durée de travail.

Référence :

Loi n°2004-626 du 30 juin 2004 relative à la solidarité pour l'autonomie des personnes âgées et des personnes handicapées : article 6

Référence :

Loi n°2008-351 du 16 avril 2008 relative à la journée de solidarité : article 2

Référence : Journée de solidarité

Code du travail : articles L3133-7 à L3133-10

Référence :

Circulaire du 9 mai 2008 relative à l'organisation de la journée de solidarité dans la FPE

Référence :

Circulaire du 7 mai 2008 relative à l'organisation de la journée de solidarité dans la FPT

Référence :

Lettre-circulaire du 26 octobre 2005 relative à l'organisation de la journée de solidarité dans la FPH

Voir aussi